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Covid-19 : une vaccination trop lente selon les professionnels de la santé

Le satané virus continue de faire ses victimes avec des nombres de morts toujours aussi inquiétants.

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Covid-19 : Une vaccination trop lente

Plus d’un an après la première apparition des cas infectés par le Covid-19, on est toujours là en train de combattre avec un ennemi invisible. Le satané virus continue de faire ses victimes avec des nombres de morts toujours aussi inquiétants.

Depuis le début de cette année, l’arrivée du vaccin a donné une lueur d’espoir. Malheureusement, il n’est pas aussi rassurant que cela.

Effectivement, ce vaccin fait aujourd’hui l’objet de critiques presque partout dans le monde. En Algérie en particulier, la campagne de vaccination qui s’est tenue lieu été pointée de doigts par beaucoup de personnes.

Des critiques sur les vaccins contre le Covid-19 en Algérie

Alors que la découverte des vaccins contre le covid-19 devait être une bonne nouvelle pour le monde entier ; la réalité est différente. Partout où une campagne tient lieu, des critiques sont lancées. Au fait, les réactions de la population vis-à-vis cette vaccination sont compréhensibles vu que beaucoup de personnes qui l’a reçu ont fait d’autres crises. Peut-être que la vraie formule n’a pas encore été découverte !

En Algérie, les critiques que les habitants lancent sur cette campagne sont très médiatisées. Dans le pays, ce n’est pas l’inefficacité du vaccin qui a été pointée de doigts, mais plutôt la lenteur des professionnels de la santé comme annoncé récemment sur la chaine TV ENTV.

Selon eux, les médecins pourraient faire mieux pour déployer le plus rapidement possible les vaccins, mais non. Au contraire, ils font trainer les choses à tel point que beaucoup se montrent exaspérés.

Les professionnels de la santé en Algérie font preuve d’inefficacité

Si l’on tient compte des objectifs que le gouvernement Algérien s’est fixé au début de la campagne, on s’attendait à une couverture vaccinale d’au moins 60 à 70 %, soit près de 20 millions de populations, mais avec le rythme des professionnels de la santé actuel, même la moitié de cet objectif ne sera pas atteinte.

Selon le Président du Syndicat national des Praticiens de santé publique ou SNPSP, l’Algérie est encore loin de ses objectifs.

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