Médias
Les mauvaises nouvelles restent prépondérantes dans l’actualité traitée par les médias
Une récente étude menée par Win PR Groupe révèle que les mauvaises nouvelles demeurent prépondérantes dans l’actualité traitée par les différents médias.
«Good News is no News» disait Marshall MacLuhan, sociologue des médias.
L’étude qui a été menée dans plusieurs pays dont l’Allemagne, l’Espagne, la France, le Mexique, les Pays-Bas et l’Angleterre, a concerné la presse, la radio et la télévision.
Fidèle à l’adage « les trains qui arrivent à l’heure ne font pas la Une », les différents médias, privilégient les mauvaises nouvelles à celles plus positives.
Toutefois, l’étude menée le mois de mars 2019 par les agences de relations media du réseau WIN PR Group, révèle des disparités par pays et par type de média.
Ainsi, l’étude révèle que la presse écrite est plus pessimiste que les autres médias. Cette dernière titre à 43 % de façon négative par rapport à 33 % pour les chaines de télévision et 25 % pour la radio.
L’étude démontre que l’angle retenu par les rédactions des différents médias reste très souvent anxiogène avec comme accroche majeure, les mauvaises nouvelles.
Rappelant qu’une étude canadienne datant de 2012 a prouvé que « L’exposition à de mauvaises nouvelles a un lien direct avec le stress que nous vivons ».
Lire par ici le communiqué de presse relatif à l’étude